Sur fond de crise sanitaire et de déconfinement, VEDECOM lance une enquête pour appréhender les nouveaux défis de la mobilité

Enquête prolongée !

L’épidémie de Covid-19, et l’épisode inédit de confinement qu’elle a provoqué, ont bouleversé en profondeur, et sans doute pour longtemps, notre rapport à la mobilité. Avec l’imminence du déconfinement, la question des modalités de nos déplacements du quotidien devient plus que jamais cruciale.

VEDECOM, Institut pour la Transition Energétique dédié aux mobilités du futur, est missionné par l’Etat pour faire collaborer l’écosystème des mobilités et développer une nouvelle filière française des mobilités durables, c’est-à-dire électriques, autonomes et partagées. Pour accompagner les acteurs du secteur et les aider à relever ces nouveaux défis, aussi urgents que vitaux pour la reprise de l’activité nationale, une équipe du domaine “Nouvelles solutions de mobilité et énergies partagées” de l’Institut lance une étude sur tout le territoire français.

Objectif : mieux comprendre l’impact de la crise sanitaire et du déconfinement sur les Français et leurs déplacements afin de proposer des solutions pouvant être mises en place rapidement ou à plus long terme. L’étude s’adresse à tous les citoyens français et aux experts de la mobilité. La seule condition est d’être résident français.

Avec ses 50 collaborateurs et son approche pluri-disciplinaire, le domaine “Nouvelles solutions de mobilité et énergies partagées” de VEDECOM adresse des problématiques cruciales pour le déploiement des nouvelles solutions de mobilité : facteurs humains, cadre juridique, modèle économique des nouvelles mobilités, analyse de la mobilité, approche sociétale…

 Le questionnaire dure 10 à 20 minutes : en le remplissant et en le diffusant autour de vous, vous nous aidez à cerner au plus près les attentes des Français et les conditions de nouvelles solutions de mobilité qui conjuguent efficacité et sécurité sanitaire.

Les résultats de cette étude seront rendus publics sur les différents canaux de communication de l’Institut en juin 2020.

Pour répondre à notre questionnaire  :

Accéder à l’enquête

Merci à tous pour votre participation et la diffusion de cette enquête autour de vous !

Auteurs : Stéphanie Coeugnet, Natacha Métayer, Rémy Le Boënnec, Stéphane Roger

Contributeurs : Jessy Barré, Jaâfar Berrada, Mercedes Bueno-Garcia, Pierre Dias, Lynda Halit

La conférence finale du projet européen CoExist a eu lieu en vidéo-conférence

La conférence finale du projet européen CoExist a eu lieu les 25 et 26 mars 2020. Initialement prévue à Milton Keynes, l’une des villes partenaires du projet, elle s’est finalement déroulée en visio-conférence, crise du coronavirus Covid-19 oblige. Lancé en 2017 et doté d’un budget de 3.5 millions d’euros, le projet CoExist vise à préparer la phase de transition durant laquelle véhicules autonomes et conventionnels se partageront les routes. L’enjeu : aider les administrations routières et les collectivités à

anticiper un réseau routier intégrant différents niveaux d’automatisation, véhicules traditionnels, et autres usagers de la route. En simulant l’insertion de véhicules autonomes dans 4 villes d’Europe, le projet a permis d’analyser les effets induits par la présence de ces nouveaux véhicules sur l’infrastructure routière urbaine. Gros plan sur un projet dans lequel l’expertise de VEDECOM sur le véhicule autonome a été fortement plébiscitée.

Créer un pont entre les véhicules autonomes et la planification des infrastructures

La prédisposition des transports ainsi que la planification de l’infrastructure dans les villes sont des conditions clés si l’on veut que le déploiement des véhicules autonomes tienne ses promesses en matière de réduction de l’espace routier et d’amélioration de l’efficacité et de la sécurité du trafic. C’est tout l’enjeu du projet européen CoExist, qui regroupe 17 partenaires de 7 pays européens (Allemagne, Belgique, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède). Industriels, académiques et villes, ils ont voulu étudier la faisabilité et l’impact de l’introduction de véhicules automatisés et connectés sur la fluidité du trafic, les impacts environnementaux (gaz à effet de serre et CO2) et les nuisances sonores en milieu urbain, sur quelques cas d’usages bien précis.

Trois étapes clés pour modéliser le trafic de 4 villes européennes

Pour ce faire, ils ont procédé en trois étapes déterminantes pour le développement des transports et de l’infrastructure. La première étape a consisté à valider des extensions de modèles de transports existants, à l’échelle microscopique et macroscopique, en y incluant différents types de véhicules autonomes, avec différents niveaux d’automatisation. La seconde a permis de développer un outil d’évaluation par simulation des impacts de ces

véhicules autonomes sur la sécurité,  l’efficacité du trafic, et sur l’aménagement des infrastructures  – et ce à partir de différents scenarios de montée en puissance des véhicules autonomes dans l’environnement. Ces outils ont enfin été appliqués à 8 cas d’usages dans quatre villes européennes : Gothenburg (SWE), Stuttgart (DE), Helmond (NL) et Milton Keynes (GB). L’objectif final était de produire des directives de conception des infrastructures hybrides, c’est-à-dire adaptées tant aux véhicules conventionnels qu’automatisés, pour accompagner au mieux la phase de transition.

VEDECOM, expert véhicule autonome du projet CoExist

L’expertise de VEDECOM, partenaire du projet, a été déterminante dans sa mise en œuvre. L’Institut a permis l’implémentation de modèles de contrôle pour véhicules autonomes, identiques à ceux des prototypes de véhicule autonome de VEDECOM, ainsi que leurs adaptations logicielles. Celles-ci ont été intégrées dans le logiciel VISSIM, édité par PTV Group, qui a ainsi pu simuler des flottes de véhicules et navettes autonomes en circulation dans les villes partenaires, elles-mêmes modélisées dans la solution.

VEDECOM a également été impliqué dans les études sur l’interprétation et l’analyse des données concernant l’impact économique et environnemental de l’introduction progressive de ces véhicules autonomes en milieu urbain. Ses analyses se sont enfin portées sur la faisabilité du système et les modifications nécessaires de l’infrastructure.

Pour en savoir plus : https://www.h2020-coexist.eu/what-is-coexist/

VEDECOM lance MOBILITY CAMP : le site web dédié à la pédagogie des nouvelles mobilités

VEDECOM lance MOBILITY CAMP, le premier site web dédié aux dispositifs pédagogiques sur les nouvelles mobilités. Avec plus de 100 contenus pour son démarrage (livres blancs, vidéos, formations, conférences, e-learnings, jeux pédagogiques etc.), il donne les clés pour mieux apprendre, comprendre et expérimenter les mobilités du futur : plus autonomes, partagées et écologiques.
Dans le cadre de sa mission de diffusion des savoirs, l’Institut pour la Transition Energétique (ITE) a pour ambition de favoriser la découverte et l’apprentissage des mobilités innovantes et durables qui sont aujourd’hui au cœur d’enjeux sociétaux majeurs.
Le dispositif MOBILITY CAMP, unique en son genre, accompagne les nombreux acteurs de l’écosystème de la mobilité – industriels, opérateurs d’infrastructures, collectivités territoriales, usagers, etc. – dans leurs projets et leur montée en compétences.

Les transformations dans le secteur de la mobilité sont multiples tant en termes de technologies, que d’usages, de services ou encore de réglementation. Au-delà des industriels, qui ont des besoins spécifiques en matière de formation face à l’émergence de nouveaux métiers, un nombre important d’acteurs sont à la recherche d’informations sur les nouvelles mobilités, tant pour un usage professionnel que personnel. MOBILIY CAMP a pour objectif de répondre à leurs attentes.

Il s’agit d’un site web collaboratif qui rassemble une multitude de contenus (livres blancs, vidéos, formations, conférences, e-learnings, jeux pédagogiques etc.) venant de tous types de structures et dédiés à toutes les nouvelles formes de mobilité : urbaine ou en zone peu dense, à la demande, partagée, connectée, etc.

MOBILITY CAMP est structuré en 4 rubriques qui répondent à 4 objectifs :

1. Se familiariser avec l’univers des nouvelles mobilités via de nombreux supports d’informations :
MOOC : TOMORROW’S MOBILITY – Sustainable Technologies for the Automotive Sector (IFP SCHOOL)
Livre blanc sur le véhicule autonome (INRIA)
Petit Campus : le train de demain (Espace science et société – IFFSTAR)

2. Expérimenter et tester les innovations. Des versions prototypes aux services éprouvés, le site facilite l’accès aux expérimentations et démonstrations pour mieux s’approprier les nouveaux produits et services existants :
Expérimentations SAM (sécurité et acceptabilité de la conduite et de la mobilité autonome)
ITS Projects in Hamburg
Transport À la Demande – disponible sur réservation dans toute l’Île-de-France

3. Découvrir les cursus de formation les plus pertinents, les organismes experts et les domaines offrant des débouchés dans les nouveaux métiers de la mobilité :
Télécom Evolution
VEDECOM Formation
Blue2Bgreen

4. Identifier les évènements et rendez-vous à ne pas manquer :
Movin on’Summit
Viva technology
Salon des Elus et Décideurs des Territoires d’Ile de France

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« Rôle de l’acceptabilité dans l’interaction entre un véhicule conventionnel et un véhicule automatisé» : soutenance de thèse de Géraldine Van Der Beken

« Rôle de l’acceptabilité dans l’interaction entre un véhicule conventionnel et un véhicule automatisé» : soutenance de thèse de Géraldine Van Der Beken

VEDECOM a le plaisir de vous annoncer que Géraldine Van Der Beken a soutenu avec succès sa thèse intitulée « Rôle de l’acceptabilité dans l’interaction entre un véhicule conventionnel et un véhicule automatisé ».

La soutenance a eu lieu le vendredi 14 février 2020, à l’Université de Rennes 2.

Sous la direction d’Alain SOMAT, Sami KRAIEM et Pascal PANSU.

RESUME

Le thème central de cette thèse concerne le rôle de l’acceptabilité dans l’interaction entre un véhicule conventionnel conduit par un humain et un véhicule automatisé. Une méta-analyse synthétisant les déterminants de l’acceptabilité d’une nouvelle technologie constitue une première étude. Les résultats ont montré que l’acceptabilité était prédite par six facteurs : l’intention comportementale, la performance attendue, la facilité d’usage attendue, l’attitude, l’influence sociale et le sentiment de contrôle. Une deuxième étude a été réalisée pour évaluer l’effet du jugement d’acceptabilité sur la différence de comportement énoncé par le conducteur d’un véhicule conventionnel lors d’une interaction avec un véhicule automatisé. Les résultats ont montré qu‘une faible acceptabilité est liée à un comportement de prudence envers le véhicule automatisé. Une troisième étude, réalisée sur simulateur de conduite, a montré que les conducteurs de véhicule conventionnel qui ont une forte acceptabilité se comportent de manière identique envers un véhicule automatisé et un véhicule conventionnel. Pour conclure, cette thèse discute le rôle de l’acceptabilité d’un dispositif technologique dans l’interaction avec celui-ci.

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« Apprentissage faiblement supervisé dans le contexte de la perception du véhicule à conduite déléguée » : soutenance de thèse de Florent Chiaroni

« Apprentissage faiblement supervisé dans le contexte de la perception du véhicule à conduite déléguée » : soutenance de thèse de Florent Chiaroni

VEDECOM a le plaisir de vous annoncer que Florent Chiaroni, a soutenu avec succès sa thèse intitulée « Apprentissage faiblement supervisé dans le contexte de la perception du véhicule à conduite déléguée ».

 La soutenance a eu lieu le lundi 3 février 2020, à Centrale Supelec.

 JURY

 Yap-Peng TAN, Professeur, Nanyang Technological University (NTU), Singapore – Rapporteur

Hichem SAHBI, Chargé de recherche CNRS (HDR), UPMC Sorbonne Université (LIP6) – Rapporteur

Jean-Luc DUGELAY, Professeur, EURECOM – Examinateur

Samia BOUCHAFA, Professeur, Université d’Evry Val-d’Essonne (IBISC) – Examinateur

Camille COUPRIE, Chercheur, FACEBOOK (FAIR) – Examinateur

Frédéric DUFAUX, Directeur de recherche CNRS, CentraleSupelec (L2S) – Directeur de thèse

Mohamed-Cherif RAHAL, Chercheur, Institut VEDECOM – Co-encadrant (référent VEDECOM)

Nicolas HUEBER, Chercheur, Institut Saint-Louis Franco-Allemand ISL (ELSI) – Co-encadrant

Féthi BEN OUEZDOU, Professeur, Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines (LISV) – Invité

 

RESUME

Dans le contexte de la perception du véhicule à conduite déléguée, l’intérêt de la communauté pour les méthodes d’apprentissage profond n’a cessé d’augmenter pendant ces deux dernières décennies. Cela du fait que ces techniques fournissent les meilleures performances de prédiction de l’état de l’art actuel, pour plusieurs tâches de vision par ordinateur, tout en ne nécessitant que des capteurs visuels de faible coût. Ces méthodes peuvent fournir, par exemple depuis une caméra monoculaire, des informations sémantiques riches concernant les obstacles de formes complexes rencontrées dans des scénarios de conduite déléguée. Cependant, obtenir les meilleures performances en prédiction de l’état l’art demande souvent un grand nombre de données manuellement labélisées, provenant du cas d’application ciblé. Le problème est que la labélisation manuelle a un coût non négligeable. En revanche, dans le contexte d’un véhicule équipé de capteurs, les données non labélisées peuvent, elles, être obtenues plus facilement. Il se trouve qu’une catégorie de méthodes d’apprentissage, dites faiblement supervisées, permettent d’exploiter directement des données partiellement labélisées. Ainsi, notre objectif dans cette thèse est de réduire au possible le besoin en données manuellement labélisées en proposant des méthodes dites faiblement supervisées.

Notre travail présente tout d’abord un type de méthodes d’apprentissage dites auto-supervisées. Elles consistent à substituer les données manuellement labélisées par des méthodes capable de générer automatiquement en amont des labels d’entraînement exploitables. Les techniques d’apprentissage auto-supervisées ont prouvé leur utilité dans le passé pour l’évitement d’obstacles et la planification de trajectoires à travers des environnements changeants, en apprenant lors de la phase d’application. Plus récemment, elles ont aussi été appliquées pour l’estimation de cartes de profondeurs, la segmentation de routes goudronnées, et pour le suivi et la segmentation d’obstacles en mouvement. Cependant, les méthodes auto-supervisées laissent encore la porte ouverte pour la détection, la segmentation, et la classification des obstacles statiques potentiellement mobiles. Par exemple, ces derniers peuvent être des voitures arrêtées à une intersection, ou des piétons attendant de traverser. En conséquence, nous proposons dans cette thèse trois nouvelles approches faiblement supervisées, avec l’objectif final de percevoir de tels usagers de la route en utilisant un système auto-supervisé.

Les deux premières contributions de ce travail ont pour objectif de répondre au problème de classification d’images partiellement labélisées, de telle sorte que l’effort de labélisation peut être focalisé exclusivement sur notre classe d’intérêt, la classe positive. Ensuite, nous proposons une approche pouvant traiter des données d’entraînement possédant une grande fraction de faux labels. Ensuite, nous proposons de démontrer le potentiel de telles méthodes de classification d’image faiblement supervisées pour les deux applications réelles suivantes : détection et segmentation des obstacles potentiellement mobiles.

Enfin, nous présentons une conclusion sur ce travail de recherche de doctorat, suivie par des perspectives de recherches futures.

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L’Institut VEDECOM présente le projet SPACE à la 5ème édition de la Maddy Keynote

L’Institut VEDECOM présente le projet SPACE à la 5ème édition de la Maddy Keynote

L’Institut VEDECOM, aux côtés d’Atos, PTV et la communauté d’agglomération Versailles Grand Parc, a présenté le projet SPACE à la Maddy Keynote : une application de co-voiturage et de gestion de parkings pour les trajets domicile-travail actuellement en cours de développement.

Une solution de co-voiturage pour les entreprises et les salariés

Pour sa 5ème édition, qui a eu lieu les 30 et 31 janvier 2020 au CentQuatre à Paris, la Maddy Keynote était centrée sur les Mutations dans les domaines du Vivant et des Territoires. Entrepreneurs, investisseurs, décideurs et médias… plus de 10 000 participants étaient attendus pour comprendre les tendances qui construisent notre futur. VEDECOM y présentait une application de co-voiturage à destination des entreprises et de leurs salariés dans le cadre d’une table-ronde intitulée « Les Smart territoires, un concept devenu réalité grâce au projet Space ». La solution inclut une gestion intelligente des parkings d’entreprises et une contextualisation des autres modes de transports pour favoriser la multi-modalité, c’est-à-dire l’utilisation de différents modes de transports au cours d’un même trajet. Le projet SPACE (Solution de Parking Avancé et de Covoiturage d’Entreprise) est mené par un consortium fermé réunissant VEDECOM, Atos et PTV Group, avec VEDECOM en maître d’œuvre et d’ouvrage. Il a pour point de départ le déménagement de VEDECOM du centre de Versailles au mobiLAB, sur le plateau de Satory. Une localisation qui a rebattu les cartes en matière de modes de transports pour les collaborateurs, engendrant notamment une augmentation importante de l’usage de la voiture. Il s’inscrit dans le cadre du Plan de Mobilité, obligatoire pour les entreprises de plus de 100 salariés, et propose des solutions pour les trajets quotidiens domicile-travail dans une démarche éco-responsable.

SPACE, ou le covoiturage de dernière minute

L’application mobile côté salariés propose un moteur optimisé de mise en relation et permet de planifier ses trajets, de calculer le taux de CO2 économisé par trajet de covoiturage, de visualiser en temps réel le déroulement de celui-ci (position des personnes sur le trajet, indication d’avance-retard…) et d’intégrer une vue temps réel d’autres moyens de transports autour de l’utilisateur. L’application offre également une fonction « Recherche de trajet en urgence » en cas de covoiturage annulé au dernier moment. La solution, qui exclut toute indemnisation financière des conducteurs, permet aux utilisateurs de cumuler des points qui leur donnent accès à des places de parking réservées et à d’autres incitations mises en place par l’entreprise.

Côté référents RH et chefs de projet du Plan de Mobilité, une interface dédiée permet d’administrer dans un environnement sécurisé toute l’application. De nombreux outils sont à la disposition des administrateurs : visualisation anonymisée des statistiques d’utilisation, outil de cartographie de mise en relation des salariés pour faciliter la création d’équipages de covoiturage, gestion du parking avec attribution de places réservées…

Une première version en test chez VEDECOM

La première version de l’application, qui ne concerne que le co-voiturage, est actuellement en test chez VEDECOM. La gestion des places de parking en contrepartie du covoiturage, ainsi que la contextualisation des autres modes de transport seront intégrées dans l’application en 2020.

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