VEDECOM est partenaire de la première édition du salon Drive to Zero, le grand évènement de la mobilité décarbonée qui sera tiendra du 6 au 8 avril 2023 au Grand Palais Ephémère à Paris.
La genèse de Drive to Zero
En juin dernier, le parlement européen votait en faveur de l’interdiction de la vente de voitures neuves thermiques à horizon 2035.
Cette décision, qui marque une nouvelle étape vers l’objectif de neutralité carbone en 2050, intervient dans un contexte de réduction des émissions CO2 face au réchauffement climatique.
Le transport des hommes et des marchandises constitue en effet aujourd’hui l’activité qui contribue le plus aux émissions de gaz à effet de serre.
Alors que la route reste le moyen de déplacement dominant, il est désormais incontournable de décarboner ses usages. Pour combler l’écart entre les objectifs et cette réalité, les acteurs industriels et territoriaux doivent s’organiser et faire évoluer leurs modèles.
C’est pour cela qu’a été créé Drive to Zero.
Qu’est-ce que Drive to Zero ?
Drive to Zero accompagne l’ensemble des acteurs de la filière face aux obstacles du déploiement de la mobilité bas carbone. Ce rendez-vous mettra ainsi en relation les acteurs publics et les entreprises pour répondre aux défis du déploiement en matière d’équipements et d’infrastructures, d’usages et de pratiques nouvelles mais également de financement et d’accessibilité des solutions.
La première édition du salon Drive to Zero aura lieu au printemps prochain, du 6 au 8 avril 2023 au Grand Palais Ephémère à Paris.
VEDECOM et Drive to Zero, un partenariat naturel
« Pour un Institut de Transition Energétique tourné vers les mobilités du futur tel que VEDECOM, il est naturel de devenir partenaire de Drive to Zero », explique Eric Lebeau, Directeur Général de l’Institut. Drive to Zero et VEDECOM convergent également sur la nécessité de fédérer les acteurs de l’écosystème de la mobilité décarbonée.
En effet, à travers ses 3 axes de R&D pluridisciplinaires que sont L’Electrification, le Véhicule automatisé et connecté et les Nouvelles solutions de mobilité et énergies partagées, VEDECOM fait collaborer l’écosystème public-privé des mobilités pour accélérer le développement d’une nouvelle filière française des mobilités durables, c’est-à-dire plus écologiques, automatisées et partagées.
Dans le cadre du partenariat, VEDECOM met à disposition son expertise de la mobilité en participant notamment au comité éditorial pour planifier le programme de l’évènement à suivre en 2023 pour la mobilité décarbonée.
Retrouvez plus d’informations sur le Salon Drive to Zero.
Rendez-vous prochainement pour découvrir la programmation complète du salon.
Le Grand Palais Éphémère. Champs de mars, Paris. 07/05/2021 Wilmotte & associés architectes
@Patrick Tourneboeuf/RMN_GP/ Paris 2024 / Tendance Floue
3 Français sur 4 plébiscitent le véhicule autonome, qui pourrait jouer un rôle décisif en zone rurale
La deuxième édition du baromètre VEDECOM & MACIF sur l’acceptabilité du véhicule autonome par les Français révèle qu’ils sont 73% à avoir une attitude positive vis-à-vis de ce mode de déplacement, en progression de 3 points par rapport à 2020 (équivalent à environ 2 millions de personnes si on le rapporte à la population française).
En 2020, les Français avaient une perception positive du véhicule automatisé, à condition que celui-ci soit introduit dans un contexte de préservation de l’environnement et d’amélioration de la mobilité inclusive. Avec le développement des expérimentations de mobilité autonome sur le territoire, la perception des Français a-t-elle évolué en 2021 ? Se projettent-ils dans un usage courant, partout et pour tous ? Qu’en attendent-ils finalement ?
« Mobilité pour tous, autonomie pour tous : c’est l’axe qui rythme les travaux que nous menons depuis 3 ans au sein de la communauté d’intérêt sur le véhicule autonome partagé. Le véhicule autonome doit d’abord répondre à un besoin de société avant d’être une technologie individuelle. C’est en ce sens que la navette autonome partagée permettra de redynamiser des territoires isolés en donnant accès à l’emploi, à la santé ou en rendant la mobilité accessible à tous. » Yann Arnaud, Directeur Réponses Besoins Sociétaires et Innovation à la Macif et Pilote de la Communauté d’intérêt sur le Véhicule Autonome.
Plus de 50% des Français prêts à le tester
Les répondants sont 18% à avoir déjà vu un véhicule automatisé soit 6% de plus qu’en 2020. De plus en plus nombreux à vouloir le tester, ils sont 5% à avoir eu l’occasion d’en utiliser un cette année (soit 2 points de plus qu’en 2020).
Plus d’un français sur deux (53,50%) affirme avoir l’intention de tester la mobilité autonome dans les années à venir (+ 11 pts) ; ils sont plus de 6 sur 10 à l’affirmer lorsqu’ils ont déjà vu un véhicule automatisé (+ 15 pts) et même plus de 7 sur 10 lorsqu’ils en ont déjà utilisé un (+ 10 pts). De manière générale, près de 4 Français sur 10 (39%) projettent d’utiliser régulièrement un véhicule autonome (+ 6 pts).
La navette autonome : un moyen de redynamiser les territoires reculés
Très attendu dans les territoires et notamment les zones rurales pour rendre des services au quotidien (ex. dessertes à la demande pour les seniors isolés ou livraisons du dernier kilomètre vers des zones d’activité), le véhicule autonome permettra enfin de rendre la mobilité accessible à tous. Une nouvelle manière de se déplacer ? Oui pour 67% des Français qui estiment que le véhicule autonome partagé permettra aux habitants des zones rurales de ne plus être dépendants de la voiture individuelle. Près de 3/4 d’entre eux pensent que des navettes autonomes partagées seraient utiles en zone rurale pour se rendre à des rendez-vous ou faire des courses et 2/3 pour se rendre dans la ville voisine, la gare la plus proche ou au travail.
La mobilité automatisée répondrait à une préoccupation qu’ont les Français pour les populations les plus fragiles. Elle serait utile en zone rurale pour les personnes âgées (pour 81% des interrogées), puis à 78% pour les personnes qui n’ont pas le permis, 74% pour celles qui n’ont pas de voiture ou encore les personnes à mobilité réduite (64%). Un Français sur deux serait également favorable au transport par navettes autonomes d’enfants et d’adolescents en zone rurale.
Aller à la rencontre de ceux qui en auront le plus l’utilité
Bien qu’encore faible, la visibilité du véhicule autonome augmente sur tout le territoire, y compris chez les ruraux : 12% des habitants des zones rurales ont déjà vu un véhicule automatisé, un chiffre en hausse de 4 points par rapport à 2020, mais seulement 2% en ont utilisé un (+ 1 point) contre 7% des urbains (+ 2 points).
La visibilité du véhicule automatisé est plus élevée et augmente plus vite chez les jeunes, les citadins et les cadres : 24% des 18-24 ans ont vu un véhicule automatisé (+ 6 points), 23% des urbains (+ 7 points) et 22% des cadres (+ 4 points). Ces derniers sont plus de 8% à avoir déjà essayé un véhicule automatisé (+ 3 points). Il y a donc un équilibre pédagogique à retrouver entre citadins et populations rurales, mais aussi entre jeunes et personnes âgées.
Les chômeurs quant à eux sont seulement 3,5% à avoir essayé un véhicule automatisé. Avec une progression toutefois, puisque l’an dernier, aucun n’en avait essayé.
Le véhicule autonome, perçu comme plus écologique pour 63% des répondants
L’autonomie des véhicules demeure associée aux énergies vertes car perçue comme plus écologique que le véhicule non autonome par près de 63% des répondants (+ 3 pts) ; 77 % (+ 7 pts) d’entre eux pensent même que le respect des normes écologiques sera obligatoire. 62% des Français perçoivent plus le côté écologique de la navette autonome partagée que pour les véhicules automatisés individuels, pour lequel ils émettent une réserve.
6 Français sur 10 se déclarent plus en sécurité dans un véhicule autonome
La question de la confiance et de la sécurité est le second élément qui incite les Français à utiliser un véhicule autonome. D’ailleurs, comme l’année dernière, près de 6 Français sur 10 (57,80%) déclarent qu’ils se sentiraient en sécurité dans un véhicule automatisé et plus de 5 sur 10 (54% ; + 2 pts) estiment que ce véhicule est fiable.
Les sondés envisagent d’utiliser un véhicule autonome dès lors qu’ils l’ont déjà vu ou testé au moins une fois. L’essayer c’est l’adopter !
Une confiance accrue chez les plus jeunes pour le niveau 3 – Plus de la moitié des Français déclare faire confiance au véhicule automatisé (plus d’1 répondant sur 2, + 3 pts). Belle progression de 14 points chez les 18-24 ans qui sont 41% à faire confiance au moins à une conduite automatisée limitée (i.e., niveau 3).
La mobilité autonome, symbole de liberté
Interrogés cette année sur les principaux éléments qui les inciteraient à utiliser un véhicule autonome en général, les Français évoquent en premier les possibilités de bien-être et de liberté qu’il apporte (41% des réponses). L’autonomie est associée au confort et à la sérénité, via les activités à bord qu’elle rend possible. La mobilité autonome partout et pour tous séduit aussi beaucoup les Français, qui se projettent déjà dans une utilisation concrète (ex. amélioration de la mobilité des personnes âgées et de la connexion entre les villes).
Toutefois, lorsque les Français ont le choix entre différents types de véhicules automatisés, ils préfèrent celui qui nécessite de pouvoir reprendre la main (niveau 3) afin, pour 55% d’entre eux, de garder la maîtrise et le contrôle de la voiture.
L’essayer serait donc bien l’adopter
Les résultats de cette deuxième édition montrent clairement que la mise sur le marché de véhicules automatisés, ainsi que les expérimentations de niveaux plus avancés, ont un impact : elles maintiennent la perception positive des Français et leur confiance donnée a priori, et renforcent leur sentiment de sécurité. Les indicateurs de visibilité et de perception confirment que les Français ont besoin de mieux connaître cette nouvelle forme de mobilité.
Pour Eric Lebeau, Directeur Général de l’Institut VEDECOM, « cette deuxième enquête montre clairement le lien direct et positif entre expérimentation et acceptabilité du véhicule autonome : il est temps maintenant de passer au déploiement et à l’observation de véritables pilotes de services opérationnels. La côte de popularité du véhicule autonome s’améliore lentement mais sûrement, avec une forte attente pour des services partagés et électriques tels que les navettes, perçues comme plus écologiques et inclusives que le véhicule individuel. »
L’attente majeure se situe dans les zones rurales où la mobilité autonome prend tout son sens. L’offre de navettes autonomes y sera pertinente pour améliorer le maillage existant et donc les déplacements des habitants qui n’ont pas accès au véhicule personnel, apporter des services inédits, et encourager les autosolistes à des formules partagées.
« Reste à structurer une filière qui puisse répondre aux besoins des territoires, à la fois sur les volets études d’opportunité, de fourniture de véhicules, de services et d’infrastructures adaptées », conclut Eric Lebeau.
Méthodologie du Baromètre d’Acceptabilité VEDECOM & MACIF
Le Baromètre d’acceptabilité du Véhicule Automatisé (VA) a été réalisé auprès d’un panel représentatif de la population française (genre, âge, répartition géographique) constitué de 4 061 personnes. Le questionnaire a été administré du 18 au 28 octobre 2021. Les questions posées ont permis de récolter des données sur :
– le rapport au véhicule autonome et notamment les principaux freins et leviers à l’utilisation d’un véhicule automatisé
– le type de véhicule autonome préféré à choisir parmi 4 : Véhicule Personnel (VP) de niveau 3 (conduite autonome limitée), VP de niveau 4 (autonomie quasi complète), Robot taxi de niveau 5 (autonomie complète), Bus / navette autonome de niveau 5
– l’évaluation de l’acceptabilité des 4 véhicules incluant notamment la perception du VA en termes de sécurité, confiance, protection des données personnelles et attitudes (i.e. jugements sur la désirabilité d’un objet ou d’un comportement et/ou de ses conséquences, une attitude positive vis-à-vis du VA revient à le juger désirable alors qu’une attitude négative revient à le juger indésirable) et les raisons de ces choix
– des thèmes en lien avec les enjeux actuels : écologie, mobilité dans les zones rurales, énergie, livraisons
– les caractéristiques socio-démographiques des répondants et leur degré de technophilie (i.e., un technophile est une personne qui apprécie et/ou encourage les nouvelles technologies).
Le baromètre a été construit sur la base de l’édition précédente, de nouvelles études scientifiques et d’une série d’entretiens menés auprès des Français.
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VEDECOM Tech, filiale commerciale de VEDECOM, lance M’OBS, première agence de notation des nouvelles mobilités en France. Son ambition est de permettre aux acteurs de la mobilité d’y voir plus clair dans le foisonnement de nouvelles solutions et offres : covoiturage, autopartage, micro-mobilité, véhicules en libre-service… : un défrichage bienvenu en temps de déconfinement, quand l’usager va retrouver un écosystème des nouvelles mobilités chamboulé.
Les équipes de M’OBS enquêtent sur les conséquences de la crise sur les acteurs des nouvelles mobilités afin de mettre à jour leurs évaluations.
En attendant, M’OBS dévoile sa première étude réalisée avant confinement et crise sanitaire : un classement inédit des opérateurs de la mobilité à travers le monde et ce, autour de trois catégories : le top des applications de mobilité, les meilleurs tarifs proposés par les opérateurs de la mobilité partagée et les pratiques innovantes pour réguler le stationnement des vélos et trottinettes. Pour ce faire, des scores ont été attribués aux différentes solutions sélectionnées selon une méthode d’évaluation tenant compte de la performance économique et de l’expérience utilisateur.
« M’OBS est né d’un constat : le manque de repères dans l’écosystème des nouvelles mobilités. Notre ambition est de donner une vision 360° des solutions existantes au niveau national et international. Chaque solution est évaluée par l’équipe de M’OBS sur la base de 46 critères d’analyse. L’objectif est d’aider les acteurs de la mobilité – notamment les collectivités locales – à mieux appréhender leur environnement et les attentes des usagers afin d’identifier les solutions les plus adaptées à leur territoire » souligne Stéphane Rabatel, Ancien Président de VEDECOM Tech.
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Après les robots-livreurs et les meilleurs podcasts sur les nouvelles mobilités, ce sont les hackathons et les challenges mobilités de ces prochains mois que le site Mobility Camp a sélectionnés cette semaine pour vous aider à appréhender les enjeux des mobilités du futur.
Partout en Europe, le déconfinement se conjugue avec la reprise des déplacements quotidiens et un besoin accru de sécurité dans les transports. Plus que jamais, les événements collaboratifs sur les mobilités seront l’occasion de faire émerger idées et projets pour réinventer les déplacements de demain et favoriser l’avènement d’une mobilité plus durable.
De l’Innovathon « Inventez la ville de demain » au « Global Challenge » de Hello Tomorrow en passant par le Hackathon « Nocode » : ne ratez aucun des événements qui vont dessiner en partie le monde « Post-Covid ».
Et aussi :
Si vous êtes acteur des nouvelles mobilités, vous pouvez contribuer à l’enrichissement des contenus du site en cliquant sur le bouton « Contribuez », à gauche de la page.
Après les robots-livreurs, le site Mobility Camp lancé par VEDECOM pour recenser les dispositifs pédagogiques dédiés aux nouvelles mobilités, propose cette semaine une sélection de podcasts sur les mobilités autonomes et connectées.
Avec la reprise de la vie professionnelle, et le déconfinement progressif, se pose la question de nouvelles formes de mobilités, moins polluantes et plus sécurisantes pour l’être humain. Qu’elles soient innovantes, automatiques ou plus respectueuses de l’environnement, ces mobilités entraînent avec elles une mutation des villes, de leurs moyens de transports et des habitudes des personnes.
Lost In Transportation, Autonocast, Podcasts on the Future of Mobility, The Mobility Podcast ou encore Smart Driving Cars, les podcasts sélectionnés par le site Mobility Camp, permettent de faire un tour d’horizon sur les mobilités du futur et plus particulièrement les transports autonomes.
Retrouvez notre sélection dans https://mobilitycamp.fr/podcasts
Retrouvez notre sélection de robots livreurs : http://www.vedecom.fr/le-meilleur-des-robots-livreurs-selectionnes-par-le-nouveau-site-mobility-camp-de-vedecom/
Si vous êtes acteur des nouvelles mobilités, vous pouvez contribuer à l’enrichissement des contenus du site en cliquant sur le bouton « Contribuez », à gauche de la page.
VEDECOM lance MOBILITY CAMP, le premier site web dédié aux dispositifs pédagogiques sur les nouvelles mobilités. Avec plus de 100 contenus pour son démarrage (livres blancs, vidéos, formations, conférences, e-learnings, jeux pédagogiques etc.), il donne les clés pour mieux apprendre, comprendre et expérimenter les mobilités du futur : plus autonomes, partagées et écologiques.
Dans le cadre de sa mission de diffusion des savoirs, l’Institut pour la Transition Energétique (ITE) a pour ambition de favoriser la découverte et l’apprentissage des mobilités innovantes et durables qui sont aujourd’hui au cœur d’enjeux sociétaux majeurs.
Le dispositif MOBILITY CAMP, unique en son genre, accompagne les nombreux acteurs de l’écosystème de la mobilité – industriels, opérateurs d’infrastructures, collectivités territoriales, usagers, etc. – dans leurs projets et leur montée en compétences.
Les transformations dans le secteur de la mobilité sont multiples tant en termes de technologies, que d’usages, de services ou encore de réglementation. Au-delà des industriels, qui ont des besoins spécifiques en matière de formation face à l’émergence de nouveaux métiers, un nombre important d’acteurs sont à la recherche d’informations sur les nouvelles mobilités, tant pour un usage professionnel que personnel. MOBILIY CAMP a pour objectif de répondre à leurs attentes.
Il s’agit d’un site web collaboratif qui rassemble une multitude de contenus (livres blancs, vidéos, formations, conférences, e-learnings, jeux pédagogiques etc.) venant de tous types de structures et dédiés à toutes les nouvelles formes de mobilité : urbaine ou en zone peu dense, à la demande, partagée, connectée, etc.
MOBILITY CAMP est structuré en 4 rubriques qui répondent à 4 objectifs :
1. Se familiariser avec l’univers des nouvelles mobilités via de nombreux supports d’informations :
– MOOC : TOMORROW’S MOBILITY – Sustainable Technologies for the Automotive Sector (IFP SCHOOL)
– Livre blanc sur le véhicule autonome (INRIA)
– Petit Campus : le train de demain (Espace science et société – IFFSTAR)
2. Expérimenter et tester les innovations. Des versions prototypes aux services éprouvés, le site facilite l’accès aux expérimentations et démonstrations pour mieux s’approprier les nouveaux produits et services existants :
– Expérimentations SAM (sécurité et acceptabilité de la conduite et de la mobilité autonome)
– ITS Projects in Hamburg
– Transport À la Demande – disponible sur réservation dans toute l’Île-de-France
3. Découvrir les cursus de formation les plus pertinents, les organismes experts et les domaines offrant des débouchés dans les nouveaux métiers de la mobilité :
– Télécom Evolution
– VEDECOM Formation
– Blue2Bgreen
4. Identifier les évènements et rendez-vous à ne pas manquer :
– Movin on’Summit
– Viva technology
– Salon des Elus et Décideurs des Territoires d’Ile de France
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